dimanche 5 décembre 2021

LE 59e VOL D'HARFANG

Un Harfang dans le sapin de Noël ? Pourquoi pas… La chouette des neiges est une habituée des sapins nordiques et fait partie du paysage. Alors en cette fin d’année 2021, qu’on soit sur les pistes enneigées ou sous la couette, un harfang est toujours une bonne compagnie pour passer un bon moment !


Alors d’escale en escale, on peut se plonger dans l’Histoire ou la littérature, la peinture, la musique, on peut voyager dans le temps et dans l’espace… quand V. Bouyx nous brosse le portrait de « réfugiés climatiques » dans le Paris d’aujourd’hui, J.-C. Tardif évoque l’Espagne du franquisme et du terrorisme et constate finalement que « Netchaïev ne revendrait pas, sa 2 cv était trop vieille pour passer les Pyrénées ».Quand S. Bourguignon évoque « le nom d’un fou s’écrit partout » à travers la figure de Fernand Deligny, A. Emery retrouve le jardinier de Cézanne et nous rapporte sa « légende »

Voyager dans le temps, c’est aussi revenir sans cesse vers l’enfance comme le fait D. Grard avec Moby Dick « le livre » qui en a marqué plus d’un ! Comme le fait D. Masson avec un nocturne joué au piano « da capo » (après le « coda » à relire dans le Harfang N° 56). Comme le font enfin M. Carminati avec « l’enfant qui voulait compter » et J. Verhaeghe pour commémorer le triste « anniversaire »…

Outre notre harfang des neiges fétiche, on  peut croiser d’autres volatiles, notamment «le vautour et l’enfant » de R. Mounaged ainsi que  le « busard Saint Martin ( circus cyanus) » de P. Serrier qui vient par hasard rappeler le souvenir de Violette.

Douze nouvelles (courtes pour la plupart, 4 ou 5 pages) à lire avant les 12 coups de minuit !

Harfang N° 59 102 pages 12 € Chèque à adresser à Harfang 13 bis avenue Vauban 49000 Angers